Unis dans la trahison

Le Président Emmanuel Macron et le Chancelier allemand Olaf Scholz se sont réunis à Paris ce mercredi pour afficher un front uni face aux menaces de Donald Trump d’imposer des tarifs sur les biens européens.

Lors de leur rencontre à l’Élysée, les deux dirigeants ont à nouveau vantés « l’alliance franco-allemande ». Une coopération fantasmée qui n’est que désunion et trahison, tant les intérêts divergent.

« Le Président Trump représentera sans aucun doute un défi », a déclaré le Chancelier Scholz, préférant toutefois rappeler les 450 millions de citoyens qui composent l’UE.

Un large marché, certes, mais sans intérêt autre que de concurrencer les États membres entre eux. Macron a lui aussi vanté ces supposées opportunités, répétant ad nauseam son mantra européiste : une Europe plus autonome et unie face aux changements géopolitiques et économique.

L’Union européenne a largement eu le temps de démontrer son inutilité et même, son rôle désastreux sur les économies autrefois les plus développées du continent. La construction européenne elle-même a été déclenchée par la volonté de Washington, créant une organisation à sa botte qui allait devoir se construire au détriment des États millénaires composant le Vieux continent.

Nous noterons donc qu’aucune pensée nationale, aucun patriotisme, attachement à la terre des ancêtres, ne peut ressortir de ces paillasson aux ordres.

Seul un monarque, non soumis à des échéances électorales et donc, à des intérêts personnels et aux lobbyistes, peut assurer la continuité de l’État et le faire fructifier au travers des défis contemporains.

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