Il y a près de 140 ans, la France offrait un cadeau symbolique aux États-Unis : la Statue de la Liberté, pour l’anniversaire de la Déclaration d’indépendance et matérialiser l’amitié entre le jeune pays et la France.
Mais aujourd’hui, cet héritage se retrouve au centre d’une polémique. L’eurodéputé français Raphaël Glucksmann, membre du groupe des Socialistes & Démocrates, a estimé que les Américains devraient rendre la statue à la France au motif que le pays n’en serait pas digne depuis la réellection de Trump.
En effet, Glucksmann a déploré les choix politiques des États-Unis, les accusant de se ranger aux côtés des dictateurs et de renier les valeurs qui ont conduit à l’offrande de ce monument.
« Nous allons dire aux Américains qui ont choisi de se ranger du côté des tyrans, qui ont licencié des chercheurs pour avoir exigé la liberté scientifique : ‘Rendez-nous la Statue de la Liberté’. » Il a ajouté avec une pointe de sarcasme : « Nous vous l’avons offerte en cadeau, mais apparemment, vous la méprisez. Donc, elle sera bien ici à la maison. »
L’eurodéputé n’a pas tardé à expliquer que ses propos faisaient référence à des décisions récentes de Washington. Glucksmann évoque notamment la suspension de l’aide américaine à l’Ukraine. Mais à aucun moment, cet ennemi de la France ne s’est offusqué du sort réservé aux civils du Donbass. Lui qui, avec sa femme, se sont personnellement enrichis en jouant les agents de Soros en Géorgie puis en Ukraine.
À aucun moment ce monsieur ne s’est offusqué que la France soit déjà plongé dans la dictature du régime macroniste.
Statue de la Liberté de Colmar, parée du drapeau tricolore pour les événements liés aux 80 ans de la Libération
En revanche, alors que le régime républicain s’enorgueille du déboulonnage de statues, surtout quand celles-ci s’adresse à l’intellect et rapppelle le grandiose héritage et histoire de la France, l’on ne peut que constater que le savoir et les capacités de faire un tel chef-d’oeuvre ne subsitent plus aujourd’hui en France.
Et désormais, les quelques rares fonderies qui n’ont pas encore été fermées, seront reconverties en usines de production d’obus. Des munitions qui vont, pour 80% de notre maigre production, directement en Ukraine et qui ne servent pas à reconstituer des stocks stratégiques.
Dans ces conditions, on aurait aimé que cette fonderie bretonne serve à faire du beau, à créer, comme au XIXe siècle.
Mais Glucksmann ne se contente pas de réclamer l’oeuvre de Bartholdi, entre autres. Il souhaite également que la France accueille les Américains « qui, par leur liberté et leur sens de l’innovation », ont fait des États-Unis une grande puissance. Il invite ces « chercheurs et talents », aujourd’hui poussés vers la sortie par des politiques répressives, à venir « enrichir la France ».
Nous y voilà. L’on reconnait bien ici le vocable du traitre Glucksmann, anti-France, immigrationniste, criminel. Prêt à tout pour mdofiier la physionnomie française et la diluer dans une invasion migratoire. Les fameuses chances pour la France, nous en avons déjà soupés. On en trouve plein les rues, plein les prsions et les hopitaux psychiatriques aussi.
Français, préparés vous à voir une nouvelle vague de chances déferler sur nos terres : les LGBTQ+ et autres dégénérés, purgés de l’administration américaine, et qui, selon les voeux « bienveillant » de cet eurodéputé, viendra sans doute constituer la nouvelle élite républicaine.