Nouvelle-Calédonie : Manuel Valls confirme sa haine de la France

Lors de sa visite à Ouvéa, un lieu tragiquement marqué par l’histoire de la prise d’otages de 1988, où six militaires français, dont quatre gendarmes, ont perdu la vie aux mains des indépendantistes kanaks, le ministre Manuel Valls  s’est vautré dans l’ignominie la plus abjecte.

« Il y a un peuple premier, il y a un peuple Kanak (…) qui doit aller jusqu’au bout de son émancipation, et nous devons terminer la décolonisation », a-t-il déclaré.

Un choix de lieu et de discours qui ont immédiatement provoqué l’ire de nombreux Calédoniens, notamment ceux qui se sentent profondément attachés à leur appartenance à la France.

Le ministre des Outre-mer a, de fait, semé une grande confusion, laissant entendre que les Français, qu’ils soient métropolitains ou d’origine calédonienne, ne seraient pas véritablement « chez eux » en Nouvelle-Calédonie, et que l’émancipation du peuple Kanak pourrait impliquer, au bout du compte, un retrait des « colons » français. Ce discours est d’autant plus choquant qu’il survient dans un contexte où les Calédoniens ont, par trois reprises, voté massivement pour rester Français. Le dernier référendum de 2021 a encore montré que le maintien de la Nouvelle-Calédonie au sein de la France est une volonté populaire forte, malgré la pression des indépendantistes.

Dans ce cadre, la déclaration de Manuel Valls soulève de légitimes interrogations : comment peut-on prétendre « terminer la décolonisation » alors que la majorité des Calédoniens ont clairement exprimé leur désir de rester français ?

Manuel Valls ira-t-il affirmer que les Français « de souche » sont eux aussi un « peuple premier » ?

En un instant, l’ancien Premier ministre, malheureux aux élections municipales de Barcelonne, né avant la honte et méconnaissant, à l’évidence, l’honneur, abandonne les Français et souhaite les condamner.

Nous sommes bien habitués à ces trahisons, qui font l’essence même du régime républicain, mais la force de ces traitres et corrompus, c’est de réussir à se maintenir, malgré leur impopularité record.

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