Notre sauveur de la Patrie, chef de guerre autoproclamé défenseur des Européens, héritier d’Hannibal et de César, arrière-arrière-arrière petits fiot de l’empereur des Français, Loire de la Pensée, nous prépare à la guerre.
Pour rappel il brandit la peur, le bellicisme pour imposer des lois d’exceptions. Comme ce fut le cas en 2020 avec le COVID et la large utilisation du champ lexical de la guerre qui en découla… les exceptions imposées aux citoyens, l’omerta sur les décisions prises, les secrets liés aux « conseils de défense sanitaire ». Le fameux « Nous sommes en Guerre… » reflète bien cette extase du président d’avoir une crise à gérer et de pouvoir imposer de façon autoritaire et arbitraire les choses.
Cela est également un extraordinaire moyen de faire oublier les échecs et la situation économico-sociale du pays. Comme les gilets jaunes pendant le premier mandat , et présentement l’endettement monstre et les fractures communautres éclatants d eplus en plus… La situation récente avec la Russie est un énième moyen de sauver le quiquennat. Il fait de la Russie le principal ennemi sur qui tout doit se cristalliser.
Il essaye de refaire une « Union Sacrée », mais pour la guerre il faut de l’argent. Comment faire lorsque ses choix successifs cumulés avec ceux de ses prédecessur ont mis la pays dans une situation générale très préoccupante.
La réponse est encore la même… la Guerre. La guerre est d’ailleurs un fabuleux moyen d’imposer des restrictions économiques et de libertés bancaires. A titre d’exemple l’on peut citer la Première Guerre Mondiale et ses impôts d’exceptions qui ne sont plus si exceptionnelles car ils se sont maintenus après Guerre.
La Grande Guerre fut l’occasion de la création de nouveaux impôts pour subvenir aux dépenses exceptionnelles. Ce fut notamment le cas de la contribution exceptionnelle sur les bénéfices de guerre, votée en 1916, qui a permis d’imposer les entreprises ayant fait des bénéfices supplémentaires liés à la guerre. Une taxe exceptionnelle de guerre ainsi que l’augmentation des impôts indirects et des droits de timbre et d’enregistrement ont été votés. Ou bien l’impôt sur le revenus qui est un autre exemple.
De même, cette guerre eu pour conséquence un dérèglement financier incalculable, la dette publique à entrainé un endettement d eplus de 200% ce qui est colossal pour l’époque. Cette dette trop importante le retour à l’ancienne parité-or du franc ce qui éloigne la valeur de la monnaie de sa valeur fiduciaire…
En 2025 l’Etat Macroniste et l’UE cherchent des fiancements exceptionnel sdont les épargantns seront les victimes. Le discours est bien évidemment rassurant et nous dit que cela ne sera que pour un temps… Histoire de surmonter la crise. Il y a les obligations d’Etats promut par le ministre Didier Lombard mais également une restriction monétaire sur les compte courant de l’euro digital.
Ce derniers point a retenu toute mon intention. La présentation même du sujet dans les médias « acceptables » ont éveillés mes craintes. Pour petite rappel la Banque centrale européenne a lancé en juillet 2021 une étude afin d’introduire un euro digital. On a rassurer sur le fait que contrainrement aux « FAKE NEWS » complotistes et russes il ne s’agit pas d’un outil de contrôle. On tourne en dérision ceux qui ont alerté sur le danger de cet euro numérique… La BCE vient d’annoncer un dépôt maximum de 3.000 euros sur les comptes courants « numériques ».
On nous rassure que ce n’est qu’un changement qui combine vigilance réglementaire et transition méthodique vers de nouvelles pratiques plus sécurisés. En gros pas qu’inquiétude… O.K.L.M. comme dirait le philosophe comptemporain. Sauf que ce qui mette cela en place, qui nous rassure, sans également ceux qui poussent la dématérialisaiton de la monnaie qui disparait physiquement De manière exponentielle ces dernièes années.
Lorsqu’on aura plus de monnaie papier a disposition, pourra t’on nous imposer ce que l’on veut sur les monnaies digitale ? Pas impossible. Les personnes qui ne correspondent pas aux souhait de la société pourrons plus facilement se voir priver de ressources. Sous prétexte de la lutte contre la délinquance, trafic, fraude fiscale on va réduire la liberté de l’ensemble des citoyens.
Petit exemple concret de ce contrôle « inexistant » pour certains… l’on ne peut pas retirer une certaine somme d’argent en liquide sans devoir « justifier » de son utilisation auprès de la Banque. De même, le paiement en liquide devient de plus en plus problématique en fonction du montant pour certaines transactions.