La république endoctrine et pervertie nos enfants

Le 29 janvier, le Conseil supérieur de l’éducation examinera un nouveau programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS).

Ce programme, qui couvre l’ensemble du parcours scolaire, se fixe pour objectif de « sensibiliser les jeunes générations aux enjeux de la sexualité, du respect des autres, et de la protection contre les violences ».

Une drôle de façon de dire que l’on va pervertir et endoctriner les plus jeunes pour les conforter à l’agenda dégenrés et dégénéré d’un système incapable d’enseigner les nouvelles générations. De la maternelle au lycée, le ministre entend bien faire « découvrir » leur corps aux enfants de 4 ans, y compris le consentement sexuel !

En maternelle, l’accent est mis sur la connaissance du corps (nommer ses parties), la compréhension de l’intimité, et l’importance du consentement.

À l’école élémentaire, l’éducation à la sexualité prend une tournure plus scientifique et sociale. Les enfants découvrent les premiers signes de la puberté et commencent à aborder des sujets comme le harcèlement, les violences sexistes et sexuelles, ou encore les « stéréotypes de genre ».

Au collège, le programme s’intensifie. Les élèves sont invités à comprendre les bouleversements physiques et émotionnels liés à l’adolescence, et à « appréhender les différentes dimensions de la sexualité ».

« L’accent est mis sur la reconnaissance des diversités, notamment à travers la question de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre ».

Le programme atteint son apogée au lycée, questionnant « l’identité de genre, en introduisant des témoignages pour illustrer les réalités vécues par des personnes transgenres ».

En terminale, l’objectif est de préparer les jeunes à aborder la sexualité de manière responsable, en « résistant aux violences sexistes et sexuelles », et en combattant les discriminations. De quoi programmer de vrais militants en lieu et place de futurs adulte et parent responsable et œuvrant pour le Bien Commun

Ainsi, non content d’être une fabrique à idiot, l’Éducation nationale les veut en plus dépravés.

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