Dimanche, Emmanuel Macron a présidé la cérémonie marquant les 80 ans de la libération de Colmar, une étape décisive dans la Seconde Guerre mondiale.
Colmar, dernière grande ville de l’Est à être libérée en 1945, a vibré au rythme des souvenirs et des hommages, sous les yeux du président de la République. Emmanuel Macron n’a pas pris la parole au cours de la cérémonie, mais c’est bel et bien la foule qui s’est rappelée à son bon souvenir et qui lui a ramené à la réalité et à ses obligations.
Si quelques uns n’ont pas manqués de serrer la main et d’échanger des sourires de façades, une Alsacienne de 81 ans a saisi l’occasion pour interpeller Emmanuel Macron en lui demandant de rétablir l’ordre.
Bien-sûr, le régime républicain a agit, comme à son habitude, triant les personnes présentes sur le volet, éloignant manifestants et opposants pour donner une impression de sérénité. Mais derrière cette image d’Épinal, nous ne sommes pas dupes. Les Français observent et subissent l’insécurité qui était déjà palpable avant 2017, puis, qui a explosée sous la présidence Macron.
Le traître républicain n’aura pas manqué l’occasion pour chercher à s’attirer la sympathie des Alsaciens et Mosellans, saluant la mémoire des Malgré Nous. Ces Français incorporés de force dans l’armée allemande et qui ont tant souffert de la répression de la république française qui avait pourtant si honteusement sombré dans la collaboration.
Rappelons le sacrifice des royalistes, pour la libération nationale. Et également l’acte manqué de De Gaulle, ce royaliste qui, une fois au pouvoir, n’aura jamais rétabli le trône de France comme il l’avait pourtant souhaité quelques années auparavant.