Aux États-Unis, Trump vient de jeter à la rue 532 000 migrants cubains, haïtiens ou vénézuéliens. Un message clair : « Vous n’êtes plus les bienvenus ».
5 semaines pour plier bagage. Fin de l’histoire. En France, on parle, on débat, on tergiverse. Et si on osait faire pareil ? Le raisonnement est simple. En 2022, Biden ouvre les portes à 30 000 migrants par mois, par « humanité ».
Résultat ? Une frontière mexicaine sous pression, des villes saturées. Trump, lui, serre les vis : exit les discours, place aux actes. En France, les centres d’hébergement explosent, les maires crient à l’étouffement. Calais, Paris, Marseille : partout, la même rengaine.
L’immigration coûte. 10 milliards d’euros par an, selon la Cour des comptes. Logement, santé, éducation : la facture monte.
ONG, médias, gauche radicale : ils parleront de « xénophobie », de « violation des droits ». Mais les États-Unis montrent l’exemple : parfois, il faut choisir entre le chaos et l’autorité.