À l’heure où l’on cherche à faire des économies de bout de chandelles, où les élites se sont arcqueboutés sur les quelques 20 milliards d’économie de la réformes des retraites ; un fléau moral et financier dévaste dans l’ombre notre économie : l’ Union europeéenne ? L’immigration ? L’islam ? Le wokisme ? Les choux de Bruxelles ? Oui, mais ce ne sont pas les sujets du jour.
La corruption ! La corruption gangrène une société qui ne croit plus en elle. Lors que les institutions qui doivent défendre l’intérêt général n’y croient plus et ne veulent plus y croire, alors l’injustice s’infiltre partout. Elle créée de l’insécurité juridique et des obstacles économiques pouvant être à long terme fatale pour un pays. Par exemple les surfacturations de marchés publics sont un vrai sujet et pourraient représenter des sommes considérables de deniers publics indûment dépensés par la collectivité.
Selon Elise Van Beneden de l’association Anticor : dans un marché de voirie, une rigole était facturée à… 90 fois le prix du marché ! Son constat est le même pour le prix de lampadaire ou de banc public.
En 2016, le service de recherches du Parlement européen avait estimé jusqu’à 120 milliards d’euros la perte annuelle de PIB de la France dans la corruption et la criminalité organisée.
La corruption des élites politiques en France demeure un phénomène difficile à appréhender en raison de l’essence même de son caractère délibérément caché et de la résistance systémique à sa révélation.
Bien que la France soit dotée d’un cadre légal solide pour lutter contre ces pratiques, le manque d’application des lois, couplé à la culture du silence et à une gestion parfois opaque des affaires publiques, contribue à maintenir la corruption à l’abri des regards.
En effet, de nombreuses lois existent pour lutter contre la corruption mais nos juges, partiaux, rechignent à punir des personnalités qui sont de leur bords politiques. De plus, une plus grande transparence est réclamée mais les organes de luttes contre les corruptions sont souvent élus de manière « peu transparente ». En France, il existe une trentaine de grands conseils et hautes autorités administratives chargés de réguler les activités des différents secteurs de la vie de la nation. Cependant, ils sont pour la plus part nommés et non élus par les citoyens.
Lorsqu’une association essaye de se battre pour la vérité et pour lutter contre ce phénomène de corruption, les grands prêtres de la vérité et de la « transparence » mettent tout en œuvre pour compliquer le travail des associations de luttre contre la corruption. L’exemple le plus frappant de ces dernières années est celui de l’association Anticor qui avait un agrément du ministère de la Justice pour pouvoir se porter partie civile lors d’affaire de corruption. Cependant, son agrément lui a été enlevé…
Son défaut ? Avoir enquêté et révélé une corruption monstre au sommet de l’État avec L’AFFAIRE Alexis Kohler. L’exécutif s’en mele alors que Grabiel Attal, une fois a Matignon déclarait que : les garanties suffisantes pour assurer le caractère désintéressé et indépendant des activités de l’association ne sont pas réunis.
Les audiences pour un nouvel agrément et une contestation devant le tribunal administratif seront alors reporté sine die, c’est-à-dire au diable Vauvert. Là encore les petits bourgeois et leur roublardise administrative n’ont pas de limite…