Après de nombreuses tentatives censure du gouvernement Barnier, suite à son utilisation de l’article 49-3 de la Constitution, c’est bel et bien son silence concernant la plus grosse affaire pédocriminelle de France, qui devrait causer sa chute.
Alors qu’à plusieurs reprises, François Bayrou a affirmé n’avoir jamais été informé de l’existence de cas de viols au sein de l’établissement de Betharram, l’ancien juge d’instruction Christian Mirande, confirme avoir rencontré François Bayrou en 1998 et l’avoir informé des violences pédocriminelles de Betharram.
Un nouvel élément qui confirme les lourdes accusations qui pèsent désormais sur le Premier ministre et qui interroge sur sa complicité.
En effet, non seulement l’actuel locataire de Matignon n’a jamais fait le nécessaire pour l’ouverture d’une enquête sur l’établissement et le faire fermer, mais en plus, il a lui même entrepris de défendre l’école.
Se rendant chez le juge d’instruction pour impacter l’affaire, par l’intervention de son ami avocat qui défendra l’établissement, par ses propres mots.
En tout état de cause, il s’agit d’un véritable scandale d’Etat, caché par la république et qui questionne. Devant ces preuves accablantes, non seulement Bayrou devra démissionner mais aussi et surtout, il devra être jugé.