La commune de Beaucaire, située dans le Gard et dirigée par le maire RN Nelson Chaudon, se trouve au centre d’une répression républicaine et christianophobe évidente.
Elle a été condamnée à verser une amende de plus de 120 000 euros après avoir persisté à installer une crèche de Noël dans la mairie, malgré une décision de justice faisant suite à une plainte de la LDH laïcarde.
« Le 20 décembre dernier, le tribunal administratif de Nîmes a ordonné à la municipalité de retirer immédiatement la crèche, en vertu de la laïcité », principe révolutionnaire qui combat sans vergogne le christianisme et le met sur un pied d’égalité avec toutes les religions, y compris l’islam. L’édile a eu 48 heures pour se conformer à cette injonction, mais il a choisi de ne résister, appelant à un vote de ces concitoyens. Un scrutin qui enregistra une forte participation des habitants et dont les résultats étaient clairs : 98,56 % réclamant le maintien de la crèche. Cette résistance a conduit à une astreinte quotidienne de 1 000 euros à partir du 22 décembre.
« Le 13 janvier, une première amende de 19 000 euros a été imposée, avec une augmentation de l’astreinte à 5 000 euros par jour à compter du 2 janvier. »
C’est finalement le 2 février, après près de six semaines de résistance, que la crèche a été retirée, faisant exploser l’amende à un total de 103 000 euros pour cette deuxième période.
L’installation de la crèche dans la mairie de Beaucaire n’est pas une première. Depuis 2014, chaque Noël, la ville a systématiquement décoré ses locaux municipaux avec une crèche, au grand dam des républicains aigris et autre traîtres au pays réel. Mais cette année, l’affaire a pris une tournure juridique après l’intervention de la Ligue des Droits de l’Homme (LDH), qui a décidé de porter l’affaire devant le tribunal administratif, arguant qu’une telle installation contrevient au principe de séparation des Églises et de l’État.
La décision du tribunal a été saluée par ces couards, qui a également appelé la préfecture du Gard à veiller à son application stricte. De son côté, Nelson Chaudon et la municipalité de Beaucaire ont exprimé leur ferme volonté de recourir à toutes les voies légales possibles pour contester cette décision.
Le jeune édile n’aura pas manqué de rétorquer qu’il s’agit là d’une question de liberté d’expression et de traditions séculaires, témoignage de la grandeur de la France et qu’il n’entendait pas se soumettre à la répression républicaine.