À Angers, les militants engagés dans la défense des valeurs françaises subissent des persécutions de plus en plus sévères.
Entre peines de prison avec sursis, amendes exorbitantes et licenciements abusifs, la pression se fait de plus en plus oppressante. Si ces actes sont fréquents, l’histoire d’un ancien militant, victime de la répression républicaine, soulève une indignation particulière.
Cet ancien militant, tout juste fiancé et père d’un enfant à naître en avril, vient d’être licencié après sa période d’essai, simplement à cause de ses prises de position dans la mouvance antifasciste. Ce licenciement survient après la publication d’articles qu’il a rédigés, dans lesquels il exprime ouvertement son engagement. Pourtant, cet homme n’a jamais été condamné par la justice. Titulaire d’un parcours académique brillant, il a toujours été apprécié pour son professionnalisme et sa rigueur. Sa seule faute ?
Défendre ses convictions, publiquement et sans compromis.
Ce licenciement n’est pas un simple revers professionnel ; il constitue une atteinte à la liberté d’expression et à l’engagement politique. Cet homme, en dépit de ses qualifications, se retrouve désormais sans emploi, dans l’attente de l’arrivée de son enfant. Il n’est pas seulement un militant : c’est un père de famille, un travailleur sérieux qui se voit privé de son droit à une carrière simplement pour avoir choisi de défendre la France à visage découvert.