Un extrait du dernier livre de la journaliste et femme politique Roselyne Bachelot, devenu viral, revient sur la rénovation de la cathédrale dont la raison de l’incendie n’a jamais fait l’objet d’enquête libre et indépendante.
Dans un extrait du livre intitulé 682 jours, Le bal des hypocrites, Roselyne Bachelot, indique que « l’Élysée rêve d’un geste architectural », puis, qu’au cours d’un déjeuner avec Brigitte Macron, la Première dame lui montre « un projet culminant avec une sorte de sexe érigé, entouré à sa base de boules en or… ».
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces lignes ne souffrent d’aucune approximation. Il n’y a pas lui d’y faire de l’interprétation et la ministre est plutôt directe. Pourtant, suite à la polémique suscité par cette affirmation, les agents de la pensée unique du régime Macron s’est mis en marche pour imposer un nouveau récit bien différent. Se cachant derrière des articles de « désinfox » et sans doute après quelques menaces du régime, Roselyne Bachelot « corrige » ses propos, précisant :
« Brigitte ne plaidait absolument pas pour ce projet qu’elle ne faisait que transmettre, car il avait été proposé à l’Élysée. Nous avons reçu des dizaines de ‘gestes architecturaux’ pour la restauration de la Flèche ».
De son côté, le cabinet de Brigitte Macron a indiqué que « ce projet n’était pas porté par madame Macron ».
Si désormais, l’on cherche à écarter la responsabilité de ce projet du couple Macron, l’on n’infirme par pour autant la véracité de ce dernier.
For those following the #BecomingBrigitte series— this is Brigitte’s PR woman who controlled the media. A long gangster history related to forgery, drugs, covering for those charged with pedophilia and she is now being tried for extortion.
It was her agency “BestImage” that… https://t.co/28K8HNzr7x— Candace Owens (@RealCandaceO) February 6, 2025
Pourtant, des journalistes aux ordres affirment mordicus avoir pu consulter cette « proposition architecturale » et indiquent qu’aucun caractère sexuel n’est visible. Autrement dit, circulez, rien à voir.
Il n’y a pourtant rien de bien étonnant pour le couple Macron, dont la nature même pose question. Un Jean-Michel travesti en Brigitte et homosexuel pédophile irréfutable qui plus est. Un véritable prédateur correspondant en tout point avec la définition primaire de la pédérastie. Ce pédéraste, donc, n’aura eu de cesse de démontrer l’étendue de sa dépravation transmise au petit Emmanuel.
Passion charnelle du président de la République à Saint-Martin
L’on retrouve ainsi un goût immodéré du couple présidentiel pour les hommes noirs et le cuir. En témoignait de façon indiscutable la visite de Macron à Saint-Martin et le concert élyséen de la fête de la musique 2018 qui prenait des airs de partouze présidentielle en compagnie de transsexuels noirs. A préciser que Jack Lang, lui même ancien ministre de la Culture, défendeur de l’inceste et de la pédophilie, y était mis à l’honneur.
Les « valeurs de la république » en image
Après toutes ces années à promouvoir la pédophilie et les valeurs LGBT dans l’ensemble des plus hautes fonctions de l’État, il était sans doute venu le temps pour le couple d’ériger le symbole de leur union, un gigantesque pénis en érection, au sommet de celle qui fut la matérialisation de la fille aînée de l’Église, Notre-Dame.
Et malgré l’opposition, en dépit des historiens de l’art et des fidèles – avec la complaisance du Vatican, lui-même touché par cette vague de décadence et l’encourageant – l’on n’aura pu éviter quelques rappels de la touche macroniste. Une intervention continue qui se matérialise par la souillure du Beau et de la pureté et qui consacre la laideur, la décadence et la dépravation la plus abjecte.