Au moment où une partie des élites occidentales continuent un lobbysme migratoire , une énième affaire vient secouer le mythe de l’immigration douce et heureuse .
Une enquête journalistique mener par le journal Frontière présent un tableau horrifique d’actes isolés se transformant malheureusement en phénomène de société. En effet l’enquête se concentre sur deux mois : octobre et novembre 2024. Dans ce laps de temps les tribunaux administratifs étudient plus de 52 dossiers mentionnant des affaires de viols dont les ¾ impliquent des étrangers sous « Obligation de Quitter le Territoire Français » (OQTF). Cela représente 39 personnes sur seulement deux mois observés.
Que vient faire le tribunal administratif dont une affaire de viol nous direz-vous ? Les tribunaux administratifs sont chargé de juger les litiges entre les particuliers et les administrations. Lorsqu’une personne est en litige avec l’administration, cette même personne peut également être partie dans une affaire civile. En l’occurrence, pas moins de 39 personnes étrangères sous OQTF sont soupçonnées d’avoir commis des viols et dans le même temps font un recours administratifs pour que leur statut administratif soit réexaminer afin d’avoir un statut de résident légal en France. Cette situation de faît semble tellement improbable, inimaginable, inconcevable… sauf que nous sommes dans la France européiste d’Emmanuel Macron.
Le but de notre propos n’est pas de montrer une prévalence étrangères de certains crimes, car nous pensons que la bonté comme le crime peut résider en tout Homme. Mais le but de notre propos est de s’interroger sur la responsabilité de commission de ces crimes.
En effet, le principal responsable d’un crime est son auteur lui-même. Mais la personne (physique ou morale) n’ayant rien fait pour l’empêcher n’est-elle pas coupable à son échelle? Lorsque l’administration française, très tolérante en matière d’immigration, décide de refuser l’accès au territoire national par une OQTF ; ne doit-elle pas tout mettre en œuvre pour exécuter sa décision ? Qui décide ou ne décide pas d’exécuter une décision administrative ?
Pourquoi le sommet de l’Etat depuis des années décide de détourner les yeux du problème migratoire alors que près de 80 % des Français voudraient plus de fermeté en matière de politique migratoire ?