Dans l’usine d’Eurenco à Bergerac, des machines sophistiquées grincent sous la pression des matières premières, transformées en pastilles hautement explosives prêtes à être utilisées dans des milliers d’obus d’artillerie fabriqués en France. Le hic ? Ce qui devrait permettre de reconstituer les stocks stratégiques de la France sert en réalité à alimenter l’Ukraine et à prolonger le conflit et les morts.
L’objectif est clair : fournir suffisamment de poudre pour produire des munitions capables de fournir 100 000 obus d’artillerie pour l’Ukraine. Kiev paye-t-elle au moins la fourniture de ces munitions ?
Evidemment que non, l’argent que nous envoyons en Ukraine ne revient même pas sous la forme d’achat et de commandes auprès de nos industries. C’est donc peu dire que les Français ne se retrouvent pas dans ce conflit. Si au moins, nous en tirions oparti, mais non.
La seule chose que nos gouvernants corrompus ont réussi à faire, c’est ne pas payer le recyclage et la destruction de nos vieux véhoicules inutilisables, qu’oils envoient massivement en Ukraine et dont les soldats ne veulent plus entendre parler.